Salut, je vais tenter de te répondre, je ne suis pas un expert, d'autres sur ce forum auront peut etre des infos plus complètes:
1. Je suppose que cela veut dire micro riche en médiums. Vrai ?
Pas forcément, les mediums te permettent de passer au dessus des autres instrus en groupe par exemple, Si tu as un preamp qui contrôle les mediums, ne te soucie pas trop de ça. C'est mon avis
Pour les sonds ronds et profonds, fais attention aux bas médiums si tu as les infos sur les sites des constructeurs.
2. Est-ce que ça vaut le coup de ne changer que l’un des micros ? Si oui lequel ?
Si tu n'en utilises qu'un sur les deux et beaucoup moins l'autre, peut etre que oui... Par contre, tu risques de te retrouver avec un déséquilibre de timbre (mais comme les micros PB et JB ont des caractères différents, ça peut passer) ou de niveau (là si tu mixes les deux tu entendras l'un plus que l'autre.
3. Est-ce que quelqu’un a des suggestions ? En parcourant le forum je tombe souvent sur les Seymour Duncan SJB2 et SPB2. Quoi d'autre?
Il y a un choix énorme chez beaucoup de fabricants, il faut vor ton budget. Chez Crel, t'en as pour 180€, chez seymour Duncan, 150€. Ayant essayé les deux, je mettrais 30€ de plus pour des Crel. Il y a d'autres marques mais je ne les ai pas testées.
4. Question soudure : l’argent change-t-il bcp de choses par rapport à l’étain?
C'est plus cher
Et c'est plus joli, l'argent offre une meilleure qualité de contact, mais bon, si on est assez pointilleux pour souder à l'argent (étain enrichi à l'argent) il faut l'être assez pour avoir les autre éléments de la chaine du son d'une qualité irréprochable. Une électronique soudée à l'argent avec un jack pourri ça sert à rien à mon avis.
5. Quel avenir pour la France ? Ca dépend, la France aura toujours un avenir, la France ne meurt jamais (comme Alain Delon). Les travers de la crise donnent naissance à un passage difficile économiquement parlant. Mais il reste la culture à la française, sa richesse, faite d'orgueil et de diversité, de contestation et de passivité. De toute façon, on a Sarkozy, on est sauvés.