John4692
darksharl
Smelcc
- "Le taux d'échec" est important parce qu'aujourd'hui, plus aucun enfant ne peut échapper à l'école, et ce, jusqu'à leurs 16 ans. Donc c'est normal qu'il y ai plus d'échec si y'a plus de monde...
Je vais faire mon chieur
Tu dis 2 choses différentes:
Tu parles de taux d'échec et d'échecs, donc de valeur relative et de valeur absolue.
La valeur relative, elle, ne doit pas, ou que peu, bouger. (10% d'échec environ, parce que... [valeur donnée au pif])
La valeur absolue, elle, bouge certes quand le nombre de gens concernés augmente.
Là, je surenchéris dans le rôle du chieur, mais...
Je pense que c'qu'il voulait dire, c'est que l'école n'étant pas obligatoire, beaucoup arrêtaient. Supposons qu'on ne compte pas les arrêts en milieu de parcours comme des échecs. Donc ceux qui restaient, pour la plupart, restaient parce qu'ils pouvaient réussir, d'où à la fois un nombre d'échecs et un taux d'échec plus faible à l'époque.
Oui alors, le smiley = "je m'en fous en fait"
je veux pas lancer de débat sur la langue française et les échecs dans le parcours éducatifs, y'a des gens bien mieux qualifiés (et payés) que moi pour étudier ça, moi j'en ai un exemple tous les jours depuis lundi dernier (pour ne parler que de 2009).
basstardo
Juste que vous parlez d'humiliation. L'ironie, la moquerie, une bonne vanne, ok. Mais humilier, c'est grave.
Surtout quand ça vient d'un pédagogue, ou supposé tel.
Tu sais, l'ironie est une forme d'humiliation en soi, chacun réagit différemment à des piques.
T'as toujours des gens qui croient tout savoir, qui pensent que ce qu'ils disent est une vérité absolue. Ces gens-là, tu te moques d'eux, et du coup ils vont mal le prendre. En outre, qui aura raison dans l'affaire? Souvent, il est impossible de le dire.
Une fille de ma classe a sorti en philo un jour, suite à un débat envenimé avec moi: "les animaux c'est utile quand ça meurt, on peut en faire du maquillage!" (cette fille était très matérialiste [et encore, c'est un euphémisme. Appelons-la le stéréotype de la pouffe])
Sur le coup j'ai été consterné, je lui ai sorti plusieurs répliques plus ou moins sympas (qui tendaient plutôt vers le "moins" que le "plus" en fait), mais au final, ce que je disais n'avait pour base que mes propres convictions, idéologies, bref, appelle ça comme tu veux.
Pour moi le meilleur argument était l'argument
ad hominem comme on dit: Je l'ai fait passer pour une grosse conne (encore qu'elle avait pas trop besoin de mon aide pour ça), je l'ai agressée, et...
On a fini sur un débat genre "vaut-il mieux sacrifier une souris blanche innocente pour des expériences à la con plutôt qu'un pédophile multi-récidiviste qui aura en plus l'avantage de fournir des résultats plus probants car adaptés à la morphologie / constitution humaine?"